vendredi 8 février 2013

Pour adoucir les moeurs....

Après l'odieux plagiat dont Pam fut l'inconsolable auteur(e) - mon côté féministe m'a fait ajouter le "e", que les assidus lecteurs et lectrices acceptent les excuses toutes plates mais néanmoins revendicatrices de l'auteurE bis repetita placent - elle vous propose, pour entamer ce week-end neigeux et/ou pluvieux (remarquez, il a fait - 40 à Montreal, de quoi se plaint-on, hein) une récréation musicale, découverte très récemment, et pourtant, ce morceau divin a environ 80 ans si ce n'est plus, alors, pour se consoler des 6 mètres de neige à Cauterets (avec un s final, un jour, Pam saura...), de la pénurie de riz basmati qui s'annonce, des Victoires de la Musique de ce soir avec Céline Dion, des commentaires toujours plus débiles des internautes du Figaro sur le net (Pam vous conseille ce genre de lecture si le second degré vous parle, c'est de toute beauté), des plaquettes de frein à changer sur la Skoda de 15 ans d'âge, de la commission européenne, de la Banque Centrale Européenne, entité complètement indépendante qui régit nos vies, de la putain de caméra sur le nouveau feu du carrefour d'à côté, du constat effarant concernant la rémunération des cadres A professeur, cadres A les plus mal payés de la fonction publique, bref, au lieu de faire un suicide collectif dont les conséquences seraient désastreuses, pensez, tous ces gens formidables qui rendent la progéniture un peu moins corvéable et fascinée par les multinationales débilitantes (ouh la, il est temps que votre serviteur se fende d'un billet sur l'usage des adjectifs épithètes), donc..... ouf..... Inspirez, respirez, poussez !!!! Non.... c'est une blague.... soupirs...

On se pose un peu, là, parce que, ce qui suit est tellement beau que les mots manquent.
Hélène Grimaud, quand elle ne danse pas avec les loups, émeut avec les touches de son piano... Mais Martha Argerich, ou Leonard Bernstein sont tout aussi merveilleux, sans doute parce que, ce 2è mouvement du concerto pour piano en sol de Ravel (le gars du boléro) est .... à vous de trouver, non pas les épithètes, mais les attributs idoines (Pam est ravie d'enrichir le vocabulaire de ses lecteurs, au passage....)

Assez parlé, attention chef d’œuvre.

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mercredi 6 février 2013

Fracko

Y a des gugusses, pas forcément de Montauban, qui écrivent des choses si justes que je n'ai besoin de rien rajouter, si ce n'est une vieille chanson qui raconte aussi très bien ce que nous zotres, forçats de la Terre, devrions tous faire un jour, bientôt, tout à l'heure, bref très vite.






Pas de burn out en ce qui me concerne, juste une très grosse envie d'attraper les huiles par leur col blanc, de les coller juste une demi-journée à mon bureau, et l'autre demi-journée dans la classe. Juste pour voir.